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Gétigné (44190)

 
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MessagePosté le: Dim 16 Mar - 15:46 (2008)    Sujet du message: Gétigné (44190) Répondre en citant

A Gétigné se trouve le domaine de la Garenne-Lemot, splendide ensemble dans le style italianisant qui ouvre la voie à des réalisations architecturales s'inspirant de l'Italie dans tous le pays de Clisson, dévasté après la guerre de Vendée.


Eglise

Eglise Sainte-Radegonde et Saint-Sébastien (1867-1870), œuvre de l'architecte Emile Perrin. Une église existe dès le Moyen Age près de l'abbaye Sainte Radegonde. L'abbaye est transférée au XIème siècle à Saint-Jouin-de-Marnes, près de Thouars (diocèse de Poitiers). L'église est reconstruite au XVIème siècle, puis brûlée en 1794 pendant les guerres de Vendée. Restaurée en 1836, l'église est reconstruite entre 1867 et 1870. Le clocher-porche a été rajouté devant la nef, et est relié par une petite construction à celle-ci. Au-dessus de la nef, une rampe en fer relativement dangereuse relie le haut du clocher à une porte pratiquée au bout du vide entre le toit et la voûte de la nef. Outre le clocher-porche, cette église est en elle-même quelque peu étrange : la hauteur de la nef tranche avec la relative modestie des bas-cotés et semble un peu surdimensionnée pour une commune relativement modeste... mais n'a-t-on pas vu d'autres communes du département avoir des églises semblables à des cathédrales? Mouzillon, au sud de Vallet, en est aussi un bon exemple.

Type d'Edifice: Eglise
Nom de l'Edifice : Sainte-Radegonde et Saint-Sébastien
Siécle de l'édifice: XIXème
Forme du clocher : Clocher-porche
Clocher en péril : non

Photos (4) : (ce sont des photos personnelles, cliquez pour agrandir)

façade et clocher
coté nord
presbytère et chevet à l'est
coté sud


Chapelles

chapelle Notre-Dame de Toutes Joies (XIXème siècle). La chapelle primitive est détruite par les Anglais au XIVème siècle. Olivier III de Clisson fait alors reconstruire la chapelle le 23 avril 1336 au même endroit et en souvenir de la naissance de son fils. Cette chapelle, ruinée, dit-on, par les Huguenots, est remplacée par une autre chapelle au XVIème siècle. Elle est pillée par les soldats de l'armée de Mayence en 1793 puis brûlée en 1794 par les colonnes infernales. Elle est reconstruite au XIXème siècle par Jeanne Favereau avant d'être reconstruite en 1890. La nouvelle chapelle n'a pas de clocher, une statue de la Vierge est placée au-dessus de la façade. Au coin sud-est, sur la route, on voit une chaire extérieure. dans les deux transepts se trouvent des autels secondaires et des vitraux.

L'ancienne chapelle du XVIème possèdait un petit clocher-lanterneau au-dessus de la façade et était plus étroite que l'actuelle chapelle, mais avait sensiblement les mêmes propottions, d'après les cartes postales du XIXème qui la représentent. L'édifice avait été garni en 1742 de 2 bras de croix. L'archidiacre de Nantes la visita en 1683 et trouva que c'était « une chapelle belle, grande et propre ». Sur les murailles étaient
accrochés des ex-votos de cire et des tableaux de voeu. Nous savons par ailleurs que les marins originaires de la contrée faisaient souvent des voeux à
Notre-Dame de Toutes-Joies, et qu'au XVIIIe siècle, on y voyait pendus de petits navires et même des oeufs d'autruche, souvenirs de voyages lointains. L'archidiacre Binet rapporte qu'une chapellenie, fondée à Toutes-Joies par les seigneurs d'Asson (vers Montaigu), n'était plus desservie depuis un temps immémorial (en 1683), parce que les revenus en avaient été perdus ; mais qu'on célébrait dans la chapelle diverses messes de fondation, et tant de messes de dévotion qu'a peine pouvait-on souvent trouver assez de prêtres pour les acquitter. Les pèlerinages attiraient 18 paroisses.

Selon une tradition, le futur connétable Olivier de Clisson serait né dans cette chapelle.

L'abbé Fayon dans sa « Vie de M. Olier » (1841) et le vicomte Walsh dans ses « Lettres Vendéennes » (1825) racontent une légende retraçant l'origine de la chapelle.
Au lieu où se dresse la chapelle, un seigneur de Clisson (le père du connétable ?), reçut à la fois la nouvelle d'une défait des Anglais et celle de la naissance d'un fils : « Joie dehors la ville ! Et joie dans la ville ! ». De retour dans son château, sa femme l'accueillit par ces mots : »Toutes joies viennent de Dieu ! » Il aurait fait bâtir la chapelle Toute-Joies à l'endroit même où lui parvinrent les deux heureuses nouvelles.
Quelques légendes prétendent qu'il venait de repousser lui-même une troupe d'Anglais retranchés près de l'emplacement des Trois-Croix de Lorette, et les avait poursuivis jusqu'à celui de la chapelle de Toutes-Joies. Là, il aurait reçu la nouvelle de la naissance de son fils et y aurait bâti la chapelle.
Cette chapelle Toutes-Joies aurait aussi été destinée à remplacer celle que les Anglais avait détruite un peu plus loin et dont le sire de Clisson conserva le souvenir, en élevant auprès de ses ruines le calvaire des Trois-Croix de Lorette.

La statue de la Vierge fait l'objet de nombreuses légendes. A côté de la chapelle était-dit-on, une prairie : l'un des taureaux que l'on y menait paître allait sans cesse lécher un buisson d'épines, sans songer à sa nourriture. Or, loin de dépérir, il devint le plus beau du troupeau. Les bergers étonnés fouillèrent le buisson et y trouvèrent une statue de la Vierge qu'ils emportèrent chez eux. Mais cette statue retourna d'elle-même dans le buisson que le taureau recommença à lécher comme auparavant. Les bergers la portèrent alors à Gétigné, et là non plus elle ne voulut point fixer son séjour. L'on crut bien faire en la plaçant dans la chapelle, près du lieu où on l'avait trouvée : la statue quitta de suite le sanctuaire et alla se poser à l'extérieur, au-dessus du grand portail. C'est en cet endroit qu'on finit par l'installer dans une niche dont elle ne s'éloigna plus à l'avenir.
D'après une autre légende, la statue de Notre-Dame de Toutes Joies aurait été trouvée à l'endroit où s'éleva ensuite la croix de pierre du carroi, et quand on l'a transporta ailleurs, elle retournait toujours d'elle-même. Enfin, d'après une troisième version, cette statue fut tirée de la fontaine de Persimon, non loin de Toutes Joies. On la porta dans la chapelle, mais elle allait toujours se placer au-dessus du grand portail.

Après la révolution, une pauvre fille, Jeanne Favereau, allait souvent prier sous les ruines du vieux sanctuaire, et résolut de mendier pour la refaire bâtir. Pendant des années, on la vit assise auprès des restes de l'orifice, filant sa quenouille en chantant des complaintes et tendant la main aux passants. Devant elle, sur une petite table, elle plaçait respectueusement et entourée de fleurs la statue brisée de la Vierg,e dont elle avait retrouvé les morceaux. Dès l'aube, elle errait autour des murailles croulantes, récitant son chapelet, à genoux près des débris de la croix du carroi, renversée par les Bleus, et parfois restait longtemps étendue à terre, comme un cadavre. On la disait folle, et les prêtres, occupés à réorganiser le culte et vaquant au plus pressé, faisaient peu de cas de son zèle. Après plusieurs années, elle réussit à réunir 10 écus dont elle acheta des matériaux et commença la construction. Quand elle en vint à la toiture, le désespoir la prit. Elle recommença à solliciter la charité publique et fit même un voyage un Nantes. Peu à peu, on s'intéressa à elle, on lui donna plus d'argent. Peu à peu on s'intéressa à l'oeuvre de Jeanne Favereau, on lui donna plus d'argent, du bois et divers matériaux, et quelques personnes aisées ouvrirent
leur bourse. On put couvrir tout d'abord le petit bras gauche du monument, vers la Garenne Valentin ; on en ferma l'arcade avec des planches, et sur l'autel fut placée une statue de la Sainte Vierge, offerte en exécution d'un voeu, pour une guérison obtenue. Enfin, avant de mourir, la vaillante quêteuse eut la consolation de voir sa chapelle terminée et livrée au culte. Il avait été question d'abord d'y placer trois vitraux de couleur, représentant les Trois-Croix de Lorette : mais on dut se contenter d'un petit vitrail, au-dessus de la porte. Jeanne Favereau avait été aidée par une bonne femme, nommée « la Bougant », qui mendiait à la porte de Toutes-Joies, tandis que sa compagne errait dans les environs. La Bougant était de Saint-Gilles : elle avait été chargée avec Jeanne Favereau, avant la Révolution, du soin d'orner la chapelle et de la tenir propre.

"Cet édifice, commencé avec les liards des pauvres et achevé grâce à l'infatigable dévouement d'une simple paysanne, a été impitoyablement démoli en 1890, sacrifié au besoin de nouveauté qui, dans notre temps, causé la destruction de tant de monuments précieux et vénérables. Celui qui le remplace, quel que soit son mérite, n'a point de tels souvenirs à rappeler : nous doutons même qu'une plaque commémorative y porte le nom de Jeanne Favereau. La chapelle disparue depuis quelque vingt ans était assez grande et bien tenue, quoique peu ornée, et se composait d'une large nef, flanquée de deux petits bras de croix, beaucoup moins élevés qu'elle. La façade, à deux rampants, était surmontée d'une petite lanterne de charpente couverte d'ardoise et renfermant une cloche. Son cadre saillant en granit, et le contrefort à talus, qui en soutenait chaque angle, pouvaient bien appartenir à l'ancien édifice du XVIe siècle, incomplètement renversé par les destructeurs de 1794. Audessus du grand portail, dans une niche, était une statue de la Sainte Vierge, probablement moderne et tenant lieu de l'ancienne, si fameuse jadis dans le pays. Le chevet plat, encadré et soutenu aux angles comme la facade, était percé d'une fenêtre en arc brisé : c'était sans doute aussi le reste du précédent sanctuaire. Le surplus, reconstruit par la bonne Jeanne Favereau, était sans caractère déterminé. A l'intérieur, aux côtés de l'autel, se trouvaient deux belles consoles de style Louis XV, en bois sculpté et doré."

(CLISSON ET SES MONUMENTS, Comte Paul de Berthou, 1910)

Le petit campanile placé au-dessus du pignon de la façade, ayant été renversé par la terrible tempête du 13 février 1900, la cloche qu'il renfermait fut mise en pièces, et les débris en ont été transportés au presbytère de Gétigné. Cette cloche venait sans doute d'une autre église si elle datait d'avant 1789, sinon elle pouvait avoir été fondue avec des restes de cloches au XIXème.

Source: http://www.villard.de/cb/44/Getigne2.htm (site partenaire)

Type d'Edifice: Chapelle
Nom de l'Edifice : Notre-Dame de Toutes Joies
Siécle de l'édifice: XIXème
Forme du clocher : sans
Clocher en péril : non

Photos (10) : (ce sont des photos personnelles, cliquez pour agrandir)

Extérieur (3) :

façade à l'ouest
coté sud et chaire extérieure
chevet et coté nord

Intérieur (7) :

vue de la nef

vitrail du transept nord

autel
verrière du chevet

transept droit (sud)
et vitrail de ce transept

vue vers l'entrée


chapelle Sainte-Anne (1908), édifiée par Jean Lion, alors propriétaire de l'ensemble des bâtisses du lieu-dit l'Anerie. Il lança une souscription pour finir la chapelle et avait souhaité que les messes y soient consacrées, dont la première aux Rogations. Par la suite la commune acheta la chapelle à ses héritiers pour sauvegarder le patrimoine. Sa façade est surmontée d'une croix et elle a un chevet circulaire.

Type d'Edifice: Chapelle
Nom de l'Edifice : Sainte-Anne
Siécle de l'édifice: XXème
Forme du clocher : sans
Clocher en péril : non

chapelle Notre-Dame de Recouvrance (1913-1919). On retrouve les matériaux de construction provenant du château de la Roche-Sebien, comme l'encadrement d'une belle porte. Le clocher est une fine flèche en ardoises avec abat-sons situé au-dessus du chevet. Cette chapelle date du XVIème siècle. Le bas-relief d'albâtre représentant l'Assomption date du XVème siècle et est classé Monument Historique.

Selon la légende, un seigneur de la Roche-Sébien en Gétigné avait un vieux serviteur, aussi pieux que fidèle, mais qu'il détestait injustement. Ni les représentations de sa fille qui avait un grand respect pour les vertus de ce bon domestique, ni la mort même du pauvre homme ne purent rien changer à cette aversion ; il ordonna avec rudesse de l'inhumer loin de sa vue et hors de son domaine. Or il ne tarda pas de devenir aveugle. Sa fille étant allée un matin, comme elle le faisait souvent, visiter la tombe abandonnée du vieillard, vit à côté une belle fleur fraîchement épanouie et toute humide de rosée. L'idée lui vint de recueillir un peu de cette rosée et d'un frotter les yeux de son père à qui la vue fut rendue aussitôt. Le seigneur de la Roche changea alors de sentiments et, sur la tombe du saint personnage si longtemps méconnu par lui, en témoignage de regret de son injustice et de renaissance de la vue recouvrée, fit construire une chapelle dédiée à Notre-Dame de Recouvrance. (D'après « Clisson et ses monuments » du comte Paul de Berthon).

Voici la description de la vieille chapelle par le Comte Paul de Berthou en 1910 :

"Au bout et un peu à l'écart de ce village, sur la gauche, à l'entrée de la route de Montfaucon et près du carrefour formé par cette route avec les routes de Torfou et de Gétigné, se voit la vieille et curieuse chapelle de Notre- Dame de Recouvrance, très célèbre et très vénérée dans le pays6. Elle est bien orientée à l'Est et porte les caractères du style gothique à son déclin, sans doute des premières années du XVIe siècle.

L'on sait que la fin du XVe siècle et la première moitié du XVIe constituent pour la Bretagne une période artistique très féconde pendant laquelle une quantité considérable d'églises et de chapelles ont été reconstruites dans notre pays ; c'est pourquoi les édifices romans y sont si rares. Cette chapelle consiste en un rectangle mesurant, hors oeuvre, 16,80 m de long, sur 7 mètres de large. Le grand portail, sur la façade, s'ouvre dans un cadre de granit en anse-de-panier ou arc déprimé, avec plusieurs moulures et une petite rosace en creux, du style du XVIe siècle, comprise dans chacun de ses
deux angles supérieurs. La baie de cette porte mesure 1,15 m de hauteur, sur 1,23 m de largeur. L'ensemble des moulures de l'anse-de-panier, jusqu'à leur retombée sur culs-delampe, est large de 0,40 m.

Depuis le sol jusqu'au sommet de la petite croix de pierre qui surmonte son pignon, la façade Ouest mesure 5,50 m ou 6 mètres de hauteur, soit environ 5 mètres sans la croix. Le chevet plat est percé d'une fenêtre en arc brisé, géminée par un meneau vertical, et dont les deux baies se terminent en trèfle ; au milieu et audessus des deux trèfles est une ouverture contournée, à deux pointes, du style dit flamboyant et formant ce qu'on appelle un soufflet.

La baie de cette fenêtre, de l'appui au sommet de l'arc brisé, offre 1,81 m environ de hauteur sur 1 mètre environ de largeur totale. L'arasement extérieur de l'appui est large de 0,27 m environ. Chacune des deux baies qui composent la fenêtre est large de 0,40 m ; le meneau central, de 0,15 m. Dans le milieu du flanc Sud de la chapelle, est pratiquée une petite porte cintrée très simple, dans un cadre de granit dont les pieds-droits sont garnis, à leur base, de quelques moulures. La hauteur de la baie de cette porte latérale, du seuil au sommet du cintre, est de 1,85 m ; la largeur, non compris l'
encadrement, de 0,85 m.

A l'intérieur, l'autel, placé contre le chevet plat, au-dessous de la fenêtre géminée, est muni d'un rétable en bois sculpté et doré, et d'un tabernacle orné de colonnettes également en bois sculpté et doré, le tout dn XVIIIe siècle et assez soigné. On y célèbre de temps en temps des Messes de dévotion; demandées par des habitants du voisinage. Près de l'autel, dans le mur du Sud, est ménagée une crédence, amortie en accolade à pointe aiguë et relevée, et contenant un charmant bas-relief d'albâtre, du XVe siècle. Ce bas-relief qui mesure environ 0,35 m de hauteur et a été grossièrement encastré dans un cadre de pierre, représente la Sainte Vierge. Dans le mur Nord, une autre crédence, très petite et amortie par une accolade simplement tracée en creux, renferme une statue moderne de la Sainte Vierge. Près de la grande porte, à l'intérieur, on a posé à terre une Notre-Dame de Pitié, groupe sculpté en pierre à plusieurs figures et oeuvre assez intéressante du XVIe siècle, qui ornait la base d'un calvaire tout proche, reconstruit de nos jours. Ce groupe mesure 0,75 m de hauteur. Deux séries de bancs de bois fermés, laissant un passage au milieu, à l'ancienne mode, meublent l'édifice dont la charpente fort basse présente des entraits et des poinçons grossièrement sculptés, avec la date 1745 entaillée sur l'un d'eux. Dans la charpente, près de la porte d'entrée, une petite cloche permet encore d'annoncer les Messes."


Notes:

crédence: Sorte de petite table ou de console qui est au côté de l’autel et où l’on met les burettes, le bassin et les autres choses qui servent à la messe ou à quelque cérémonie ecclésiastique. Ici: niche aménagée dans les murs, de manière à mettre en valeur statues et bas-reliefs.

géminées: jumelées, par exemple : http://www.societes-savantes-toulouse.asso.fr/samf/grmaison/fd-icono/mm0006…

Depuis, nous devons remarquer le rempalcement de l'autel, devenu bien plus modeste. En outre, un clocher a été ajouté au début du siècle, au-dessus du chevet. Sur le transept ouest (la chapelle est orientée du nord au sud), on remarque une petite cloche... son battant a du être retiré, mais la chaîne pend toujours dans le transept. Les vitraux du chevet à trois pans relatent la légende de la chapelle. Il faut les lire de droite à gauche.


Type d'Edifice: Chapelle
Nom de l'Edifice : Notre-Dame de Recouvrance
Siécle de l'édifice: XXème
Forme du clocher : flèche en ardoises
Position du clocher : au-dessus du chevet
Clocher en péril : non

Photos (12) : (ce sont des photos personnelles, cliquez pour agrandir)

Extérieur (5) :

façade au sud

façade et coté ouest
clocher et petite cloche de l'ouest

clocher au nord
coté est

Intérieur (7) :

vue vers l'autel
vue vers le porche

transept de gauche (ouest)
transept de droite (est)

vitraux du chevet, de gauche à droite

A signaler aussi

Temple de Vesta (1819-1822)

Dominant la Sèvre, le temple de Vesta est la fabrique la plus monumentale du parc. Cette tholos (temple rond) périptère (entouré de colonnes) évoque le temple de Vesta à Tivoli. Les plans, bien qu'anonymes, peuvent être attribués à Mathurin Crucy. Dix-huit colonnes placées sur un haut stylobate autour d'une cella circulaire constituent l'édifice dont les premières assises sont posées pendant l'été 1819. Les chapiteaux corinthiens, prévus à l'origine, sont remplacés par des chapiteaux doriques exécutés dans l'atelier parisien de Lemot ainsi que les bases. L'ensemble est achevé en juillet 1822.
Le projet d'orner l'intérieur de l'édifice d'une statue de marbre n'est pas mis en œuvre, pas plus que celui d'amener les eaux d'un ruisseau jusqu'à un grand bassin, derrière le temple. Ces eaux devaient ensuite retomber en cascade sur les rochers à l'imitation des cascades de Tivoli.

Source: http://culture.cg44.fr


Ancienne abbaye

Ancienne abbaye Sainte-Radegonde, transférée au XIème siècle à Saint-Jouin-de-Marnes, près de Thouars dans le Poitou.

Ancienne chapelle privée

Ancienne chapelle privée du château de la Roche-Sébien (XIV-XVème).


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